Étonnantes installe son tout premier pop-up store à Nantes, du 13 au 18 juin !
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Lire plusQui n’a jamais posé le pied sur une île peut difficilement concevoir la puissance de ce territoire dressé entre ciel et mer, ce monde en soi dont la force conditionne les destins qui s’y jouent.
Lire plusSe rendre chez Anne c’est prendre le temps d’apprécier les reflets de la Loire qui serpente jusqu’à Couëron, cette petite ville à quelques kilomètres de Nantes où elle vit et travaille et à qui elle a emprunté le tréma qui habille ses savons Crü.
Lire plusElle est un remède à la mélancolie. Une heure en sa compagnie et l’on est heureux pour les vingt-trois suivantes.
Lire plusTu te définis comme « artiste designer », qu’est-ce que cela signifie ?
J’ai suivi des études d’arts appliqués avec une spécialisation en textile où j’ai appris à travailler surtout les motifs.
Quelle est l’histoire de Maison Roussot ?
Maison Roussot a démarré il y a environ trois ans et le site Internet aura deux ans en novembre prochain. Je travaillais dans la décoration depuis dix ans et cela faisait un moment que je réfléchissais à monter quelque chose.
Marie tu as une formation de graphiste-coloriste. Comment est née ton envie de créer Dimanche ? Je ne sais pas d’où me vient le désir de travailler le cuir. Pour me féliciter de mon diplôme, mes parents voulaient m’offrir quelque chose alors j’ai demandé un stage d’initiation au cuir : pendant une semaine, j’avais quatre heures de formation tous les matins pour apprendre le point cellier, le point de base en maroquinerie qui est le point couture à la main.
Lire plusAurélie, que faisais-tu avant de créer Black Verveine en 2014 ?
A la fin de mes études de mode, j’ai fait un stage au sein d’une marque de Streetwear à Paris pour laquelle j’ai été embauchée en tant qu’assistante de collection. C’était intéressant, une création de poste et j’avais pas mal de responsabilités au sein de cette jeune marque.
Quel est ton parcours Mathilde ?
J’ai fait une prépa Art à l’Atelier de Sèvres à Paris, et ensuite une Ecole d’Arts Graphiques. Je voulais être artiste, illustratrice, c’était vraiment ancré profondément en moi mais je ne savais pas quelle forme cela allait prendre.
Aude, tu étais salariée en région parisienne et tu es désormais brodeuse en région nantaise. Que s’est-il passé ?
Depuis la naissance de ma fille il y a neuf ans, j’avais très envie de faire autre chose. J’ai une formation d’urbaniste et j’étais chargée d’études chez un bailleur social : j’étudiais les territoires pour savoir s’il fallait construire ou pas du logement social. Je connais donc assez bien la géographiet et la socio-démographie des régions que j’étudiais ! Mais je considérais avoir fait le tour de mon activité.